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Charlotte Bouteloup : la vie après un burn-out

charlotte bouteloup télématin

Journaliste, Charlotte Bouteloup a été chroniqueuse 18 ans sur Télématin et anime son compte Instagram @charlottebouteloup_off avec des interviews dédiées aux parcours de vie de personnalités.

De Télématin à Instagram : l'amour du cinéma

Charlotte Bouteloup :

« Après mon école de commerce, j’ai fait un stage de fin d’études à France Inter j’ai rencontré William Leymergie. Je suis devenue chroniqueuse cinéma à Télématin et ça a duré 18 ans ! En marge de Télématin, j‘ai travaillé à France Inter et pour RTL. J‘écrivais aussi en presse écrite. Aujourd’hui, je continue à faire des interviews sur les réseaux sociaux, ce sont des interviews beaucoup plus longues que celles que je faisais en télé. Je vais à la rencontre des gens du cinéma et de personnalités qui m’inspirent, mais on ne parle pas que de cinéma. Je les interroge sur leurs vies, leurs œuvres, mais aussi le climat, la maternité, la paternité, le monde de demain... »

Son rapport à l’image, face à la caméra

C.B. :

« Être face à la caméra ne donne vraiment pas confiance en soi, au contraire ! A travers le prisme d’une caméra, tout est amplifié. On voit tous nos défauts, mais en même temps, on doit très vite apprendre à lâcher parce qu’on n’y peut rien ! Ce n‘est que de la télé, il y a plus grave dans le monde… »

Se défaire du regard des autres

C.B. :

« On veut plaire parce qu’on a envie d’être regardé(e) et que nos propos soient entendus. Je reçois des réflexions très dures sur les réseaux et ce n’est pas facile, mais c’est comme ça : il faut que je lâche, que ça coule sur moi. Maintenant, quand je reçois des messages désagréables, je coupe, je bloque. On n’est pas là non plus pour se faire emmerder ! »

Un burn-out en 2018

C.B. :

« Je ne savais pas que je faisais un burn-out, j’avais juste l’impression, et c’était le cas, d’avoir un rythme de travail effréné. Comme c’était du direct, il fallait rendre le travail en temps et en heure et surtout, être toujours au top. Ça a commencé par un malaise sur un tournage, j’étais irascible, je dormais mal. J’ai fait des pauses, ça m’a aidée, mais pour se remettre d’un burn-out, il ne s’agit pas seulement de se reposer et de faire des grasses mat’… Non, il fallait changer quelque chose de plus profond et c’est passé par arrêter de faire un travail que j’avais adoré, mais qui ne m’épanouissait plus. J’ai appris à m’écouter de nouveau et à essayer de faire rentrer de la joie dans mon travail, de ne plus faire de concessions avec moi-même.

Selon certaines études, les gens qui font des burn-out, sont des gens très forts psychologiquement, parce que ton esprit prend le dessus et n’écoute pas ton corps. Mais ensuite, ça craque. Maintenant j’ai appris à m’écouter. »

Une nouvelle femme après le burn-out

C.B. :

« Je suis beaucoup plus moi-même, j’écoute ma petite voix intérieure. Je ne pourrais plus accepter un job, ou un quoi que ce soit, si je sens que ça va contre ma nature ou si ça ne m’épanouit pas un minimum. Je sais que sinon, je vais le payer derrière. »

Ce qui compte pour aller bien

C.B. :

« Japprends à dire non. Je me remercie aussi et je remercie les autres. Il y a mes copines, évidemment, heureusement qu’elles sont là ! Et puis, mettre de la joie dans les petites choses quotidiennes… Je prends soin de moi en ne faisant plus ce que je n’ai pas envie de faire. L’important, c’est de se respecter soi. »

Les films qui font du bien

Ce qu’il y a de mieux après 45 ans

C.B. :

« Après 45 ans, on apprend à dire non. J’essaie de transmettre ce message à mes filles, j’aurais gagné tellement de temps si j’avais su dire non plus tôt. Et surtout, après 45 ans, on devient la boss de sa vie. On a fait des erreurs, on a pardonné aux autres, mais on avance. On sait, à défaut de savoir où on veut aller, où est-ce qu’on ne veut plus aller. On se recentre, on s’écoute, on dit merci et surtout on fait entrer de la joie dans sa vie. »

Accepter le temps qui passe

C.B. :

« Je ne le vis pas hyper bien Mais je me dis qu’il faut lâcher, ça ne veut pas dire se laisser aller mais plutôt lâcher prise. Personne ne remonte le fleuve, tout le monde le descend, c’est comme ça. Heureusement, on a quand même plein de petits tips pour faire en sorte de rester “dans le game. »

La routine beauté de Charlotte Bouteloup

C.B. :

« J’avais une maman très nature peinture, très chic, mais pas du tout sophistiquée. Moi, depuis toute petite, j’ai toujours kiffé le maquillage et les crèmes. Dans une autre vie j’aurais pu fonder une marque de cosmétiques ou travailler dans la cosmétologie ! Je teste beaucoup de choses, des derniers lasers aux nouveaux soins sur le marché. A la maison, j’ai un frigo avec tout un étage rempli de produits de beauté : il y a mes rollers, mon Gua Sha, les globes pour décongestionner, mes crèmes, mes sérums J’hésite même à monter un TikTok spécial : “Charlotte a testé”, c’est à l’étude ! »

Sa routine bien-être

C.B. :

« Le matin, mon grand kiff, c’est de me réveiller 15 minutes avant que mes filles ne se lèvent. Je mets une petite méditation de Cédric Michel parce que j’adore ce mec, “Méditation de la joie” ou “Méditation de la confiance” et pendant ce temps-là, j’enfile mon masque LED rouge avec lumière infrarouge. Je trouve que ça donne du glow, ça lisse les traits et après ça, je suis au top pour commencer ma journée.

Je ne prends pas de petit déjeuner, à part une Ricoré et un cocktail à base de collagène, d’antioxydants et de magnésium. Ça, c’est mon shoot. J’utilise un très bon sérum, que je change tous les 15 jours pour ne pas trop habituer ma peau. J’utilise aussi le Gua Sha ou un roller. C’est ma manière de prendre soin de moi. Pendant que je fais ça, je suis centrée sur moi. Côté sport, je suis très mauvaise élève… Mais j’essaie d’être régulière quand même. Je suis plus dans le sport bien-être : je nage 3 fois par semaine, je sors le chien. Je ne fais pas de grandes marches mais ce qui compte, c’est la régularité. »

LE tips bien-être de Charlotte Bouteloup

« Toujours voir le verre à moitié plein, et sinon un bon sérum. Jamais sans mon sérum ! »

Juliette P.

Juliette P.

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